Honoré de Balzac : Le curé de Tours (La Comédie humaine #28)
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Au commencement de l’automne de l’année 1826, l’abbé Birotteau, principal personnage de cette histoire, fut surpris par une averse en revenant de la maison où il était allé passer la soirée. Il traversait donc aussi promptement que son embonpoint pouvait le lui permettre, la petite place déserte nommée le cloître, qui se trouve derrière le chevet de Saint-Gatien, à Tours. De ce commencement guilleret, Balzac va produire une dramatique histoire. Mais ce qui étonne, est la force de la conclusion Nous vivons à une époque où le défaut des gouvernements est d’avoir moins fait la société pour l’Homme, que l’Homme pour la Société. Il existe un combat perpétuel entre l’individu contre le système qui veut exploiter et qu’il tâche d’exploiter à son profit; tandis que jadis l’homme, réellement plus libre, se montrait plus généreux pour la chose publique. Et l’auteur de continuer : Ce cosmopolitisme moral, espoir de la Rome chrétienne, ne serait-il pas une sublime erreur ? Il est si naturel de croire à la réalisation d’une noble chimère, à la fraternité des hommes. Mais hélas! La machine humaine n’a pas de si divines proportions...
Lastnost | Vrednost |
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Založba | Agencija TEA BOOKS |
Zbirka | La Comédie humaine |
Leto izdaje | 2022 |
Strani | 63 |
Jezik | slovenski |
Tip datoteke | epub |
ISBN | 9791222005881 |
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Au commencement de l’automne de l’année 1826, l’abbé Birotteau, principal personnage de cette histoire, fut surpris par une averse en revenant de la maison où il était allé passer la soirée. Il traversait donc aussi promptement que son embonpoint pouvait le lui permettre, la petite place déserte nommée le cloître, qui se trouve derrière le chevet de Saint-Gatien, à Tours.
De ce commencement guilleret, Balzac va produire une dramatique histoire. Mais ce qui étonne, est la force de la conclusion Nous vivons à une époque où le défaut des gouvernements est d’avoir moins fait la société pour l’Homme, que l’Homme pour la Société.
Il existe un combat perpétuel entre l’individu contre le système qui veut exploiter et qu’il tâche d’exploiter à son profit; tandis que jadis l’homme, réellement plus libre, se montrait plus généreux pour la chose publique.
Et l’auteur de continuer : Ce cosmopolitisme moral, espoir de la Rome chrétienne, ne serait-il pas une sublime erreur ? Il est si naturel de croire à la réalisation d’une noble chimère, à la fraternité des hommes. Mais hélas! La machine humaine n’a pas de si divines proportions...